Miroir de la culture en Flandre et aux Pays-Bas

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Miroir de la culture en Flandre et aux Pays-Bas

L’avenir du néerlandais historique se joue à l’international
Le néerlandais dans le monde
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L’avenir du néerlandais historique se joue à l’international

Que l’on mène des recherches sur le changement climatique au XVIIe siècle ou sur les peuples indigènes du Brésil, la maîtrise du néerlandais historique donne accès à une mine d’informations. Les sources en langue néerlandaise suscitent un vif intérêt à l’échelle internationale et la numérisation permet de consulter un nombre croissant de textes. Malheureusement, les compétences humaines sont à la traîne par rapport aux progrès technologiques. C’est pourquoi des efforts s’imposent pour maintenir le niveau d’expertise en néerlandais historique. Et ce, non seulement dans l’aire néerlandophone, mais aussi au-delà, affirme Frans Blom, car le patrimoine néerlandais jouit d’un grand prestige auprès des chercheurs internationaux.

Au mois de juin, lorsque les températures grimpent et que les climatiseurs bourdonnent sur fond de klaxons de taxis et de sirènes, j’anime chaque année l’atelier Dutch Palaeography and Archives à l’université Columbia. En tant que conférencier invité, j’ai le privilège d’initier pendant une semaine des doctorants avides de connaissances aux sources manuscrites en néerlandais des XVIIe et XVIIIe siècles. Le matin, un confrère de Columbia traite du néerlandais historique dans les textes imprimés ; l’après-midi, j’aborde les manuscrits.

Issus des quatre coins des États-Unis, du Canada et de quelques pays asiatiques, les participants se réunissent à New York en vue d’améliorer leur néerlandais et d’apprendre à utiliser les archives dans le cadre de leurs recherches en histoire ou en histoire de l’art. L’un étudie le commerce transatlantique, l’autre s’intéresse aux peuples indigènes du Brésil, un troisième effectue des recherches sur le changement climatique au XVIIe siècle. Quelques-uns se spécialisent dans les peintres hollandais et le marché de l’art, et il y a toujours un petit groupe d’habitants de la région qui se passionnent pour l’histoire de Manhattan ou de la Nouvelle-Néerlande.

Une semaine durant, nous nous plongeons dans des collections d’archives et lisons ensemble des imprimés anciens et des manuscrits. Le lundi, lorsque l’atelier commence, tout le monde est un peu nerveux en jetant un premier coup d’œil à l’écriture désuète. Nous nous aidons d’outils paléographiques tels que Schriftspiegel et Het Nederlandse schrift, et apprenons comment un non-néerlandophone peut tirer parti du dictionnaire en ligne Woordenboek der Nederlandsche Taal. Nous essayons aussi de nous familiariser quelque peu avec l’écriture et la langue. Certains sont plus doués que d’autres. Mais à la fin de la journée, nous avons tous mal à la tête. La semaine ne sera visiblement pas de tout repos.

Le mardi, nous nous intéressons à l’histoire sociale en étudiant des lettres issues de la collection Prize Papers. En guise d’introduction, je raconte mes souvenirs de l’époque où l’on m’apportait des boîtes remplies de ces documents aux Archives nationales britanniques, près des jardins de Kew. Après avoir déplié avec précaution ces papiers personnels, la voix de leur auteur, discrètement scellée et longtemps confinée, se mettait soudain à résonner. Ensemble, nous déchiffrons l’écriture élégante d’une mère d’Amsterdam qui s’inquiète pour son fils engagé dans la marine et le supplie d’éviter les mauvaises fréquentations. La conclusion plaît tout particulièrement aux participants: Dat wij malkanderen met lief weeder sien mogen tot onser salycheydt, amen. En ick wensche u honderd duizend goede nachten (Puissions-nous nous revoir avec affection pour notre plus grand bonheur, amen. Et je te souhaite cent mille nuits paisibles).

L’après-midi, nous nous penchons sur le sort d’Elsje Christiaens, une jeune femme du Jutland condamnée à mort peu après son arrivée à Amsterdam pour le meurtre de sa logeuse. Les historiens de l’art connaissent bien les dessins de Rembrandt qui reproduisent le cadavre de la jeune fille, exposé au gibet à Volewijck pour servir de pâture aux oiseaux. Nous prenons toute la mesure du drame en lisant les documents manuscrits du procès qui citent les paroles prononcées par Elsje pour sa défense. Les doctorants surmontent peu à peu leur timidité, qui se dissipe entièrement le soir, lorsque nous trinquons ensemble à la langue néerlandaise.

Le mercredi, nous examinons divers documents des Compagnies néerlandaises des Indes occidentales (WIC) et des Indes occidentales (VOC). Grâce aux projets de numérisation menés dans différentes institutions, nous pouvons étudier des pièces issues de différentes collections. Les Archives nationales néerlandaises nous fournissent le récit d’un témoin oculaire de l’éruption volcanique survenue en 1712 sur l’île de Ternate, au nord des Moluques. Le texte, rédigé dans une écriture de clerc, se laisse aisément déchiffrer avec l’aide de la version un peu plus tardive et légèrement retouchée de François Valentijn dans son livre Oud en Nieuw Oost-Indiën (Indes orientales anciennes et nouvelles). Nous formulons des réflexions sur les variantes orthographiques, le choix des mots et la syntaxe.

Plus tard dans la journée, nous consultons les archives numériques de la Ville d’Amsterdam pour étudier les listes de cargaisons des coloniers (colons) d’Amsterdam sur le Suyd Revier en Nouvelle-Néerlande (Delaware): 150 florins pour un coffre de médicaments (kist met medicamenten), 85 florins pour 50 paires de sabots (50 paer Boereschoenen), 25 florins pour 30 paires de chaussettes diverses pour enfants (30 paer Kindere coussens divers), et le même montant pour quatre rames de papier à écrire (4 riemen schrijffpapiers). Au XVIIe siècle, tout, mais vraiment tout, avait un prix.

Le jeudi est le dernier jour de notre cours intensif. Malgré la fatigue, les doctorants n’ont pas l’intention d’abandonner. Nous passons donc à la peinture, en rendant une petite visite à Rembrandt. Dans un premier temps, nous étudions en ligne l’inventaire dressé au moment de la faillite du grand maître, consultable dans le Getty Provenance Index. Bien que cette source soit très souvent citée, les historiens de l’art parmi nous s’animent soudain en découvrant des mots du jargon pictural tels que landschappie ou tronie.

Ensuite, nous nous penchons sur le manuscrit original de l’inventaire provenant des archives de la Ville d’Amsterdam. Au fil de notre lecture, nous parcourons une à une les pièces de la demeure de Rembrandt. Singulièrement, le manuscrit nous procure bien plus d’informations que les seuls tableaux répertoriés dans la base de données de Getty: le peintre s’était aussi entouré de bustes d’empereurs romains, de bibelots et d’objets exotiques, tels qu’une Oostindische Poeijer doos (un poudrier des Indes orientales), une Indisch koppie (une tasse des Indes), un Japanse hellemet (un casque japonais) et un Moor nae ’t leven afgegooten (un Maure moulé d’après nature). Enfin, nous pénétrons dans la bibliothèque et sommes stupéfaits par l’énorme quantité de livres d’art, de collections d’estampes et de dessins des principaelste meesters vande heele weerelt (des plus grands maîtres du monde entier) que possédait Rembrandt.

Puis le moment arrive inexorablement de mettre un terme à notre exploration commune du néerlandais historique. Nous prenons une dernière photo de groupe, en guise de souvenir et de remerciement à la Taalunie (Union de la langue néerlandaise), et nous nous séparons dans la chaleur moite de cette soirée new-yorkaise.

Une mine d’informations suscitant un intérêt international

Deux choses me frappent toujours lors des ateliers annuels de Dutch Palaeography and Archives. La première est la richesse inimaginable des sources en néerlandais, qui témoigne de l’infinie diversité du passé. Les textes sont si variés en termes de genre, de ton et de contenu que même le cours le mieux pensé a tôt fait de sortir du cadre défini. Heureusement, cette copia et varietas présente un point commun, qui constitue la motivation des doctorants venus suivre ce cours unique en son genre: tous les documents sont en néerlandais. Les participants sont bien conscients que la maîtrise du néerlandais historique donne accès à une mine d’informations.

La deuxième chose qui me frappe à l’université Columbia, c’est la signification internationale des sources en langue néerlandaise. Ces textes reflètent l’orientation mondiale et le périmètre d’action des Pays-Bas à l’Époque moderne. Ils ne sont pas importants uniquement pour la recherche sur le passé néerlandais, mais aussi pour l’histoire vande heele weerelt (du monde entier). On le constate aux origines diverses des participants, aux textes qui les passionnent et tout particulièrement aux sujets de thèse qui nécessitent la consultation de ces sources.

Ces textes reflètent l’orientation mondiale et le périmètre d’action des Pays-Bas à l’Époque moderne

Presque aucun d’entre eux n’aspire à devenir un spécialiste de notre  histoire nationale», et encore moins des techniques littéraires d’un auteur canonique comme Vondel. Constantijn Huygens, qui a donné son nom à de nombreuses avenues, écoles et institutions aux Pays-Bas, n’est pas, en dehors de son aire linguistique, «le grand poète», mais le premier témoin du talent de Rembrandt. Et inversement, de vastes pans du patrimoine néerlandais, dont la valeur est moins bien perçue chez nous, jouissent d’un grand prestige à l’étranger. Dans bon nombre des domaines dont relèvent les documents étudiés, ceux-ci sont les plus anciens textes encore disponibles. Une source en langue néerlandaise telle que le compte rendu de la VOC sur l’éruption volcanique de Ternate joue un rôle important dans l’histoire locale et est susceptible d’apporter des réponses aux questions concernant l’impact des catastrophes naturelles sur les peuples de l’archipel indonésien. Si de telles questions peuvent être formulées par une multitude de personnes et en différentes langues, les réponses sont, elles, toutes données par des locuteurs néerlandophones.

Des scanneurs qui tournent à plein régime

La numérisation permet de consulter un nombre toujours plus grand de sources en langue néerlandaise. Sur ce point, les Pays-Bas sont parmi les plus avancés, avec les sites sans cesse étoffés des Archives nationales, de collections spéciales et de nombreuses archives municipales. Les scanneurs y tournent à plein régime. Mais les archives et collections étrangères publient aussi de plus en plus de documents en ligne, dont un certain nombre en néerlandais. Les Prize Papers en constituent un bon exemple. Saisie pendant les guerres anglo-néerlandaises, la correspondance outre-mer a été entreposée comme information de guerre dans la Tour de Londres, où ces lettres sont tombées dans l’oubli. Durant longtemps, elles ont dormi dans des boîtes au dépôt des Archives britanniques. Leur numérisation les a arrachées d’un long sommeil ; on estime que quelque quarante mille missives néerlandaises datant des XVIIe et XVIIIe siècles sont désormais consultables sur le site des Archives nationales.

Le problème posé autrefois par la rareté des sources a aujourd’hui cédé la place à une surabondance de documents scannés dans le monde entier. Google Books participe à l’effervescence générale en digitalisant à tour de bras des imprimés anciens, et le zèle du site Delpher est tout bonnement impressionnant. Les partenariats engagés par la Koninklijke Bibliotheek (Bibliothèque royale des Pays-Bas) avec des collections nationales et étrangères a entraîné la constitution d’une collection numérique de journaux néerlandais qui va du premier exemplaire conservé de Broer Jansz en 1618 aux nombreux quotidiens publiés au cours des XIXe et XXe siècles. L’utilisateur peut y fouiner pendant des heures sans se douter qu’un bon nombre de ces sources en néerlandais ont été fournies sous forme scannée par des archives étrangères basées à Hambourg, Stockholm, Londres, Saint-Pétersbourg, Paramaribo, Le Cap ou Jakarta.

Nous sommes submergés de manuscrits et d’imprimés anciens dont la qualité varie énormément: d’aisément déchiffrables à pratiquement illisibles. Tout l’art consiste donc à s’orienter dans cette offre pléthorique. À cet égard, la numérisation apporte également une aide précieuse. Les moteurs de recherche et les interfaces, lorsqu’ils sont bien conçus, ne permettent pas seulement de trouver son chemin au sein des collections individuelles, mais aussi d’effectuer des requêtes dans des fichiers liés. De cette manière, la distance se réduit de plus en plus entre les utilisateurs et les collections. Les performances de recherche s’améliorent sans cesse et il ne faut plus se soucier des heures d’ouverture. Depuis n’importe quel endroit de la planète et à tout moment –comme pendant l’atelier du mardi après-midi à New York, alors qu’il était déjà quasiment l’heure de se coucher aux Pays-Bas– on peut faire apparaître sur son écran des documents dans une très haute résolution pour les examiner dans les moindres détails. Un manuscrit que l’on parvient à peine à déchiffrer à l’œil nu dans une salle de lecture peut désormais être agrandi, pivoté et contrasté. Et les sources historiques qui ne sont pas encore disponibles en ligne peuvent être scannées sur demande.

Une aiguille dans une botte de foin

La numérisation est une aubaine pour le patrimoine néerlandais et insuffle véritablement une seconde vie au matériel fragile que sont les imprimés anciens et les manuscrits. Pourtant, l’euphorie a des limites. Nous connaissons tous l’anecdote de Pétrarque qui, penché en Italie sur un nouveau manuscrit de l’Iliade rapporté du Levant, versait des larmes parce qu’il ne comprenait pas le grec. C’est cette même situation que nous connaissons actuellement. Le projet de publier en ligne les lettres de Guillaume d’Orange était certes des plus novateur, mais combien de personnes peuvent réellement lire ou comprendre la correspondance du Père des Pays-Bas en français, latin et allemand du XVIe siècle ? La numérisation rend les sources accessibles, mais encore faut-il pouvoir les utiliser.

La numérisation rend les sources accessibles, mais encore faut-il pouvoir les utiliser

Il existe des outils de reconnaissance de l’écriture manuscrite (handwritten text recognition, HTR), tel Transkribus, qui assurent la conversion automatique de manuscrits en fichiers texte lisibles. Ils donnent notamment de bons résultats pour des documents rédigés par les mains expertes des commis de la VOC. Le projet Unsilencing the VOC a recours à la HTR pour identifier des groupes marginalisés au sein des sources historiques. Le projet Globalise de la NWO (Nederlandse Organisatie voor Wetenschappelijk Onderzoek) va encore plus loin. Il se penche sur la série Generale missiven (missives générales) de la collection Overgekomen brieven en papieren (lettres et documents envoyés d’Asie et d’Afrique aux bureaux de la VOC aux Pays-Bas, NDT) dans les Archives nationales. Ce corpus exceptionnellement vaste et riche, estimé à 105 000 folios, fournit un compte rendu détaillé d’événements qui se sont déroulés au cours de pratiquement toute la période des XVIIe et XVIIIe siècles dans les régions où la VOC était active. (Cela varie avec le temps, mais il s’agit à peu près de toute la zone située entre le Japon, le Cap et le Yémen.)

Des logiciels sont utilisés pour transcrire les manuscrits et inventorier les toponymes, les événements et autres entités. Par exemple, vous pouvez rechercher «Ternate» dans le corpus pour trouver le journal de bord mentionnant l’éruption volcanique dans l’ensemble des résultats pertinents. La numérisation, en plus d’accroître la visibilité des sources, facilite également la découverte des aiguilles dans une botte de foin toujours plus volumineuse.

Besoin urgent d’expertise

En réalité, nous ne sommes guère plus avancés aujourd’hui qu’à l’époque où le manuscrit de l’Iliade était tombé entre les mains de Pétrarque: le véritable travail doit encore commencer. Afin d’interpréter les sources et d’en apprécier la valeur pour la recherche, une certaine maîtrise de la langue historique s’avère indispensable. Or, celle-ci fait de plus en plus défaut. Dans ce domaine, les connaissances et les compétences humaines accusent un retard par rapport à la performance des logiciels. Toute une série de facteurs entravent l’expertise disponible aux Pays-Bas et en Flandre, ainsi qu’ailleurs dans le monde. Paradoxalement, la place qu’accordent les programmes d’études à l’apprentissage du néerlandais historique et à la formation de nouveaux experts ne grandit pas, mais au contraire diminue au fur et à mesure que de nouvelles sources deviennent accessibles.

Dans les études néerlandaises internationales, de nombreuses recherches sont effectuées sur la base de sources en néerlandais, notamment aux États-Unis, en Indonésie, en Corée et dans d’autres pays d’Asie, en Afrique du Sud et au Royaume-Uni. (La Taalunie réalise pour l’instant une enquête pour en dresser l’inventaire, et publiera sur le sujet.) En même temps, les possibilités offertes à l’étranger d’acquérir des compétences en néerlandais historique et d’utiliser les sources pour la recherche sont souvent encore plus réduites. Les étudiants et les chercheurs dépendent d’initiatives et d’ateliers extracurriculaires, tels que celui organisé à New York. Ce sont des périodes intenses d’apprentissage, mais juste au moment où elles commencent à porter leurs fruits, les étudiants se retrouvent de nouveau livrés à eux-mêmes. Ils doivent alors se rabattre sur les modules d’exercices, quelques outils lexicaux comme le WNT et, pour les plus persévérants parmi eux, une méthode autodidactique telle que Nederlands van Middeleeuwen tot Gouden Eeuw. Cursus Middelnederlands en Vroegnieuwnederlands de Mooijaert et Van der Wals.

Paradoxalement, la place qu’accordent les programmes d’études à l’apprentissage du néerlandais historique et à la formation de nouveaux experts diminue au fur et à mesure que de nouvelles sources deviennent accessibles

La visibilité croissante des sources historiques en néerlandais et leur intérêt pour les chercheurs à l’étranger nécessitent la mise en place de structures qui maintiennent le niveau de l’expertise dans le domaine du néerlandais historique aux Pays-Bas et qui favorisent également celle-ci au-delà des frontières de l’aire néerlandophone. L’internationalisation exige un nouveau type de méthode autodidactique, qui tienne compte du fait que le groupe-cible n’a pas le néerlandais pour langue maternelle, qu’il assigne des valeurs différentes à l’héritage néerlandais et qu’il interroge les sources autrement.

La Taalunie est bien consciente du problème et soutient le développement de la méthode autodidactique Dutch for Reading Knowledge – Historical Dutch par une équipe d’universitaires néerlandais et étrangers. À l’avenir, il devrait être possible d’exploiter la numérisation non seulement pour donner accès à un plus grand nombre de contenus et mettre au point des logiciels plus performants, mais aussi pour forger une communauté où des personnes du monde entier pourront se rencontrer en ligne, poser des questions et obtenir des réponses. Cette Dutch Sources Community anglophone regrouperait les chercheurs, étudiants et autres personnes intéressées par les sources historiques en néerlandais, qui pourraient se concerter et obtenir des conseils, mais aussi utiliser des outils pour effectuer des recherches indépendantes dans des archives en néerlandais. Une telle infrastructure numérique ne relierait donc pas les différentes archives, mais bien leurs utilisateurs.

En tant que partie intégrante des ressources mises en ligne par la Taalunie, Dutch Sources pourrait rassembler, soutenir et stimuler les chercheurs aux Pays-Bas et à l’étranger, de façon à valoriser les sources en néerlandais dans le monde entier.

Merci à Karlijn Waterman de la Taalunie pour les informations sur ses recherches concernant l’utilisation des sources en néerlandais dans les études néerlandaises à l’étranger.
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