Miroir de la culture en Flandre et aux Pays-Bas

Publications

Miroir de la culture en Flandre et aux Pays-Bas

La privatisation du prix P.C. Hooft
Pour les abonnés

La privatisation du prix P.C. Hooft

(Diny Schouten) Septentrion - 1987, nº 3, pp. 77-78

Ceci est un article de nos archives imprimées. Patientez, car nous devons le scanner

Il y a deux ans, le ministre de la Culture Brinkman refusait de remettre le plus important prix littéraire néerlandais à Hugo Brandt Corstius. S'en suivit une situation où le ministre et les institutions concernées par ce prix se trouvèrent dans l'impasse. Ces institutions ont maintenant fait une proposition: le prix deviendrait un prix national au lieu d'un prix d'État. Le ministre est tout disposé à écouter ce langage car ainsi il peut d'ores et déjà considérer la privatisation de ce prix comme une victoire.

Poursuivre la lecture de cet article?

Cet article est payant. Achetez l’article, ou souscrivez un abonnement donnant accès à tous les articles repris dans les plats pays.

€3

€4/mois

€40/année

S’inscrire

S’enregistrer ou s’inscrire pour lire ou acheter un article.

Désolé

Vous visitez ce site web via un profil public.
Cela vous permet de lire tous les articles, mais pas d’acheter des produits.

Important à savoir


Lorsque vous achetez un abonnement, vous donnez la permission de vous réabonner automatiquement. Vous pouvez y mettre fin à tout moment en contactant emma.reynaert@onserfdeel.be.