Poésie en Flandre depuis 1950
(Hugo Brems) Septentrion - 1988, nº 1, pp. 2-14
La poésie flamande postérieure à 1950 entretient une curieuse relation avec celle des Pays-Bas du Nord, mais elle a également poursuivi sa propre évolution. Dans les années troubles qui ont suivi la seconde guerre mondiale, résistance et collaboration, mais aussi de nouvelles idéologies comme l'existentialisme y jouèrent leur rôle. La nouvelle poésie flamande se vit qualifier d"'inquiétude moderne dans un mètre classique". Les principaux poètes de l'après-guerre font l'objet d'une brève présentation. L'auteur indique également les périodes auxquelles ils appartiennent. Par période, s'esquisse l'importance de l'individu poète, et dans un bref exposé il aborde les principales caractéristiques littéraires des poètes, ainsi que les principaux milliaires de leur poésie. L'auteur distingue l' "inquiétude moderne", le renouveau de la poésie flamande avec notamment des poètes comme Claus, Pernath, Snoek, Gils et autres, le néo-réalisme, les expérimentaux, le néo-romantisme et la "jeune garde de poètes sûrs d'eux-mêmes". L'article souligne aussi bien la continuité que les changements, et marque surtout la spécificité de poètes comme Van Vliet, Gruwez, Van hee, et de leurs cadets Lanoye et Van Bastelaere. Avec une anthologie."
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