Tous les deux mois, Hans Vanacker pose un regard personnel sur Septentrion. Il tire des archives du magazine tantôt des articles ayant touché chez lui une corde sensible, tantôt des textes qui entrent en résonance avec l’actualité. Et justement, actualité oblige, il a choisi ce mois-ci un article portant sur les horreurs de la guerre.
La guerre en Ukraine ne laisse personne indifférent, moi y compris. La souffrance humaine causée par une machine de guerre meurtrière nous saisit quotidiennement. Et dire que même dans les Plats Pays, il y a des gens et des groupes qui excusent le comportement de Poutine et de sa bande de béni-oui-oui. C’est incompréhensible.
Les Plats Pays ont été confrontés plus d’une fois à des conflits sanglants. Septentrion a publié de nombreux articles traitant des souffrances causées par la guerre. Par exemple, l’article de Piet Chielens, «Quatre-vingts ans plus tard: le front 14-18 en Flandre», paru dans le numéro 3 de 1998. Ce numéro contenait un vaste dossier sur la «Grande Guerre».
Piet Chielens, à l’époque coordinateur du musée In Flanders Fields d’Ypres, porte attention tout autant au contexte général qu’à la souffrance quotidienne. En lisant son article, on s’imaginerait presque, avec un certain sens de l’exagération, dans la guerre. Presque, car heureusement pas vraiment. Ma génération, qui n’a jamais connu la guerre, pas même un seul jour, devrait être consciente, comme tout le monde, que la paix et l’harmonie dans ce monde sont apparemment un privilège. Nous devons chérir et défendre ce privilège chaque jour.
Lisez l’article de Piet Chielens ICI.
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