Le choix du secrétaire

Alors que le Parlement britannique vient d’approuver un projet de loi permettant l’expulsion de certains demandeurs d'asile vers le Rwanda, le secrétaire de rédaction de Septentrion met en perspective différentes histoires d’immigration.

En pleine préparation du prochain numéro de Septentrion, Hans Vanacker en dévoile le thème. C’est l’occasion pour lui de réfléchir à une disparité linguistique belge qui est vouée à disparaître – du moins l’espère-t-il.

Rien de mieux qu’un détour par l’art des XVIIe et XVIIIe siècles pour égayer des temps moroses.

Alors que vient de paraître le tout dernier numéro de Septentrion contenant un dossier sur la sexualité, Hans Vanacker prend la mesure du chemin parcouru dans la perception de l’homosexualité.

Tom Lanoye vient tout juste de célébrer son 65ᵉ anniversaire. Ce qui amène Hans Vanacker à revisiter son passé étudiant ainsi que l'œuvre de l'auteur flamand.

Du cours de littérature belge au tram côtier, Hans Vanacker nous emmène du côté de la belgitude.

L'orange ne plaît pas particulièrement au secrétaire de rédaction de Septentrion. Pourtant, il s'agit d'une couleur hautement symbolique aux Pays-Bas.

À l’aube du lancement du mois de la littérature jeunesse, Hans Vanacker s'attache à une grande dame des Pays-Bas.

Avec les températures glaciales, bien des habitants des Plats Pays se mettent à rêver d'une mythique compétition.

Hans Vanacker s’attache cette fois-ci à un article retraçant le parcours d’une figure importante non seulement au sein de Septentrion, mais pour les relations entre francophonie et néerlandophonie en général: Sadi de Gorter.

L'enseignent supérieur s'anglicise dans les Plats Pays et aux Pays-Bas en particulier. Avec quelles conséquences?

Dans ce billet, Hans Vanacker revient sur l’annonce de la remise du Femina étranger à Brouwers en 1995.

Actualité oblige, Hans Vanacker revient ce mois-ci sur un article portant sur les horreurs de la guerre.

Hans Vanacker tire des archives de Septentrion un article qu'il juge important. Dans cette première livraison, il rend hommage à la plume agile d’un collaborateur régulier du magazine.