De manière tout à fait subjective, nous avons choisi trois articles sur le thème des Pays-Bas français qu’il ne fallait absolument pas manquer cette année. Saviez-vous que ce n’est pas à Bruges ni à Anvers ou à Amsterdam que la deuxième université des Plats Pays a été fondée au XVIᵉ siècle, mais bien à Douai? Le néerlandais dans le nord de la France est à un croisement: comment s’annonce l’avenir de cette langue dans la région? Cinquante ans après sa mort, Emmanuel Looten, grand poète de Flandre française, aurait-il sombré dans l’oubli?
À la fin du XVIᵉ siècle était fondée la deuxième université des Plats Pays à Douai
La première université des Plats Pays voit le jour à Louvain, il y a tout juste six cents ans. À partir de 1559, une deuxième université prend forme dans l’actuelle ville française de Douai. Rapidement, elle va attirer des étudiants et des professeurs de France, d’Angleterre et des Pays-Bas septentrionaux.
Quel avenir pour le néerlandais dans le nord de la France?
Dans le nord de la France, comment se portent le néerlandais et sa variante dialectale qu’est le west-flamand? Et surtout, comment s’annonce leur avenir?
TOUTE LA SÉRIE SUR LE NÉERLANDAIS DANS LE NORD DE LA FRANCE
Emmanuel Looten, une postérité en mode mineur
Cinquante ans après la mort d’Emmanuel Looten, force est de constater que le grand poète de Flandre française est aujourd’hui tombé dans l’oubli. L’inventaire en cours de ses archives, conservées au musée du Mont-de-Piété de Bergues, entend cependant remettre en lumière cette figure singulière.





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