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20 décembre 2019 2 min. temps de lecture La première année, notre choix

Humainement reconnaissable et mystérieux par manipulation : continuons à regarder Pieter Bruegel

Où se trouve la clé de la magie que Pieter Bruegel l’Ancien continue à exercer sur nous? Comment devons-nous regarder ses toiles et que devons-nous penser des mythes dont son œuvre fait l’objet? L’auteur flamand Jeroen Olyslaegers nous le raconte. Vous pouvez lire son article ici.

Une figure emblématique du théâtre contemporain : Ivo Van Hove à Anvers

Du 18 au 21 septembre, la Comédie-Française se produisait au «Stadsschouwburg» d’Anvers avec «Les Damnés» (mise en scène d’Ivo Van Hove), un spectacle très attendu dans les Plats Pays. Fin 2016 a paru dans la revue Septentrion un article de fond sur Ivo Van Hove, metteur en scène de renom mondial. Dans cet article, Jos Nijhof accorde beaucoup d’attention à sa collaboration avec David Bowie. Vous pouvez lire cet article ici.

Cavaliers du vent. Le couple de cinéastes Brosens & Woodworth

Les cinéastes Brosens & Woodworth veulent faire du «cinéma d’expérience»: le spectateur doit subir leurs films. La vision filmique de Brosens & Woodworth est d’une indiscipline rafraîchissante dans son langage visuel, sa concrétisation mûrement pensée mais enjouée et sa thématique. Vous pouvez lire ici l’article de Karin Wolfs.

La main de l’artiste s’exprime dans les imperfections : Wouter Paijmans au musée «De Pont»

Wouter Paijmans (° 1991) a toujours aimé peindre mais au fil du temps, il a adopté d’autres médias. Or, même lorsqu’il travaille l’aluminium ou le textile, ses œuvres trahissent toujours une approche picturale. Cette particularité a débouché notamment sur une forme d’art hybride qu’il a baptisée «peinture de confection». Lisez ici l’article de Maarten Buser.

L’écrivain Koen Peeters salue James Ensor, le peintre du sublime et du vulgaire

Le 19 novembre 2019, voilà septante ans que James Ensor mourait dans un hôpital d’Ostende. L’écrivain Koen Peeters rend hommage à ce « réaliste, pleinairiste, peintre de la lumière et des masques », qui allait saluer sa propre statue devant le casino. Lisez ici l’article de Koen Peeters.

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